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Face à la médiatisation de l’affaire, ils sont plusieurs membres de la franchise à subir les retombées négatives. C’est la raison pour laquelle certains souhaitent quitter le réseau. “Ce qu’ils souhaitent aujourd’hui, c’est sortir en douceur et pouvoir mettre une autre enseigne parce qu’ils font face à des refus de mandats, à des vendeurs qui leur demandent d’enlever les panneaux à vendre ‘Stéphane Plaza’”, expliquait l’avocate Sarah Laassir au micro de Sud Radio en février. Selon la magistrate, plusieurs négociateurs de ces agences, alors qu’ils étaient en fonction, auraient été confrontés à des questions et des remarques concernant l’affaire Stéphane Plaza.
Alors que le froid entre la direction du réseau et les franchisés continue de s’intensifier, le débordement survenu ce 8 mars lors d’une manifestation féministe à Lille n’apaisera pas les tensions. En effet, lors de la protestation, l’agence de la ville a été vandalisée et le mot “violeur” a été tagué sur la vitrine, rapporte le Parisien. Alors que des slogans anti-Stéphane Plaza et des insultes ont été rapportés par des témoins, le journal indique que la police a été appelée en renfort. Un événement qui traduit l’ambiance tendue autour de Stéphane Plaza.
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