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Un père de 24 ans, dont le corps était entièrement tatoué avec plus de 200 dessins, a choisi de les faire enlever pour le bien de sa fille

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Les tatouages sont souvent perçus comme une forme d’expression personnelle. Mais jusqu’où peut-on aller avant de dépasser un point de non-retour ? Ethan Bramble, fasciné par les modifications corporelles depuis l’adolescence, n’a cessé de repousser les limites.

À 11 ans, il commence par étirer ses oreilles, puis enchaîne avec des transformations plus radicales : langue fendue, nombril retiré et surtout, un corps presque entièrement recouvert d’encre.

À l’époque, il voit ces changements comme une affirmation de soi. Il investit plus de 60 000 dollars australiens dans ses tatouages, sans jamais envisager qu’il puisse un jour les regretter. Pourtant, les années passent et un sentiment inattendu s’installe : le doute.

Le poids du regard des autres

Se sentir bien dans sa peau est essentiel, mais qu’en est-il lorsque cette apparence suscite des jugements constants ? Pour Ethan, ce qui semblait être une œuvre d’art est peu à peu devenu un fardeau social. Il confie que ses tatouages, en particulier ceux sur son visage, ont fini par lui causer de l’anxiété.

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