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Plusieurs personnalités politiques de droite ont en effet exprimé leur désapprobation face à cette décision jugée honteuse et inappropriée.
D’autres personnalités ont cependant pris la défense de la chanteuse comme Michel-Edouard Leclerc. Un débat qui agite depuis plusieurs semaines la sphère médiatique et politique.
Lors d’une apparition sur le plateau de BFM TV, le patron de la chaîne de supermarché portant le même nom s’est dans un premier temps montré surpris d’être interrogé à propos d’Aya Nakamura.
Réputé pour ses prises de position, Michel-Edouard Leclerc a défendu vigoureusement la chanteuse française, soulignant une réponse argumentée qui met en avant son soutien inconditionnel à l’artiste.
Dans ses commentaires, l’homme d’affaires a suggéré que les critiques pourraient être motivées par du racisme, introduisant son propos de la manière suivante : « J’ai une famille très cosmopolite ».
Avant de poursuivre : « En fait, je n’ai pas compris le traitement qu’elle a subi, pourquoi elle est ciblée comme ça. Si j’y vois un fond de racisme ? Oui, bien sûr. Mais on est une société… Quand on est dans l’anxiété, tous les mauvais sentiments, la barbarie, la haine… »
Michel-Edouard Leclerc a finalement conclu sur une note sévère : « Tout le ressenti qu’on a chacun explose quand la société est permissive ».
Au-delà de Michel-Edouard Leclerc, d’autres figures comme Benjamin Biolay et Hugues Aufray ont perçu du racisme dans les critiques adressées à Aya Nakamura, montrant ainsi une sensibilité accrue à ces questions dans différents cercles.
Véritable vétéran de la chanson française, Hugues Aufray, n’a pas mâché ses mots également pour exprimer son indignation : « Mon rôle ici et dans la vie, c’est de défendre l’injustice. Et c’est injuste d’attaquer quelqu’un pour sa couleur, pour la forme de son corps, et cetera ».
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