ADVERTISEMENT

ADVERTISEMENT
ADVERTISEMENT
Une rumeur s’est par ailleurs également emparée des réseaux sociaux au sujet de l’influenceuse et de ses supposés échanges avec le cabinet de Jean-Luc Mélenchon a été catégoriquement démentie par La France insoumise. Dans une vidéo postée le 12 juin et ayant cumulé plus de 400 000 vues en deux jours, Maeva parlait notamment d’une conversation téléphonique et mentionne une « proposition très très très sérieuse » de se présenter aux législatives sous l’étiquette de LFI.
Maeva Ghennam a réfuté les accusations selon lesquelles elle aurait été rémunérée pour soutenir politiquement Sébastien Delogu. En réponse à une abonnée qui l’accusait d’avoir perçu 15 000 € pour son soutien, l’influenceuse a fermement nié sur ses réseaux sociaux :« Alors non, les filles, sur le Bon Dieu que ce n’est pas vrai. Jamais été payée pour soutenir un parti. »
Le phénomène d’influenceurs sollicités par des partis politiques pour encourager le vote n’est pas nouveau. Jeremstar, un ancien blogueur influent, a partagé son expérience similaire sur Instagram. Selon lui, il a été approché avec une offre de 15 000 € pour créer du contenu destiné à promouvoir le vote pour un certain parti. Il devait publier trois stories et une photo de lui votant, afin d’inciter ses abonnés à faire de même. Jeremstar a décrit le processus comme étant extrêmement structuré, mentionnant qu’il avait reçu des directives précises sur la façon de s’exprimer. Toutefois, il n’a pas révélé quels partis politiques l’avaient contacté.