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Perchée au milieu des paysages arides de la Patagonie, la demeure de Florent Pagny n’a rien d’ostentatoire. Pas de luxe démesuré, mais une simplicité qui invite à la quiétude. Ce choix réfléchi reflète un besoin profond de se reconnecter à l’essentiel.
Florent décrit cet endroit comme un véritable havre de paix, où l’air est pur et l’eau limpide. « Rouler trois heures sans croiser âme qui vive, c’est un autre voyage », confie-t-il. Pourtant, ce mode de vie reste exigeant. Le climat rigoureux et l’isolement demandent une certaine résilience et une capacité d’adaptation.
La Patagonie : un amour partagé
Azucena, l’épouse de Florent, partage avec lui cet amour profond pour la Patagonie. Elle évoque souvent leur complicité et leur lien avec ce territoire unique. « Je ne sais pas s’il est tombé le plus amoureux de la Patagonie ou de moi », plaisante-t-elle. Pour eux, cet éloignement n’est pas une rupture mais une parenthèse nécessaire, une respiration entre la France et l’Argentine.
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