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À cette époque, alors que la photographie commence à se répandre, aucune image d’Anis Al Dolah ne nous est parvenue. Le Shah, passionné par cet art, refusait de photographier ses épouses et concubines. Paradoxalement, il immortalisait des hommes déguisés en femmes pour représenter la vie dans le harem, une pratique qui a entretenu de nombreux malentendus. Cette absence d’authenticité dans les archives visuelles n’a fait que renforcer le mystère entourant Anis.
Une influence discrète mais puissante
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