ADVERTISEMENT
On enfile notre soutien-gorge machinalement chaque matin, parfois sans y penser, parfois avec agacement. Trop serré, pas assez discret ou simplement peu confortable… Mais avez-vous déjà réfléchi à l’impact réel qu’il peut avoir sur votre corps, au-delà du simple maintien ? Une chose est sûre : notre rapport à la lingerie mérite qu’on y regarde de plus près.
90 % des femmes en portent… mais à quel prix ?
Porter un soutien-gorge est une habitude quasi universelle chez les femmes. Pourtant, selon certaines recherches, cette pratique anodine pourrait avoir des conséquences inattendues, surtout lorsqu’elle devient constante, jour et nuit. En cause ? Des choix souvent guidés par l’apparence plus que par le confort ou la santé.
Car soyons honnêtes : qui n’a jamais choisi un modèle canon, au détriment du bien-être ? Résultat : des armatures trop rigides, des bonnets mal ajustés ou encore des bretelles qui marquent la peau deviennent notre quotidien… au détriment de notre confort.
Soutien-gorge et santé : ce que disent les médecins
Contrairement à une idée reçue très répandue, porter un soutien-gorge en continu n’empêche pas les seins de s’affaisser. Aucun lien scientifique n’a été prouvé entre le port prolongé de lingerie et le maintien de la fermeté. Pire encore, certains modèles pourraient même nuire à la circulation lymphatique, en comprimant les tissus mammaires de manière excessive.
La lymphe joue un rôle essentiel dans l’évacuation des toxines. Si elle circule mal, cela peut favoriser l’apparition de kystes ou de petits déséquilibres dans la glande mammaire. Il ne s’agit pas de diaboliser le soutien-gorge, mais plutôt d’apprendre à l’utiliser avec bon sens.
Les bons réflexes pour une lingerie bienveillante
Un bon maintien, oui… mais tout en douceur
Si votre soutien-gorge laisse des marques rouges en fin de journée, c’est qu’il est trop serré. Misez sur un modèle adapté à votre morphologie, quitte à faire appel à une conseillère spécialisée en boutique de lingerie.
La nuit, on laisse respirer
ADVERTISEMENT