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Lorsqu’il s’agit de faire ses courses, la question des produits bio revient inévitablement. Doit-on systématiquement privilégier le bio pour réduire notre exposition aux pesticides et préserver notre santé ?
Pour de nombreux consommateurs, la réponse semble évidente : oui. Après tout, l’image du bio est solidement ancrée dans notre esprit comme un gage de qualité et de sécurité sanitaire.
Pourtant, cette décision est loin d’être aussi simple. Si certains fruits, comme les fraises et les pommes, sont régulièrement épinglés pour leurs niveaux élevés de résidus chimiques, d’autres s’en sortent beaucoup mieux, même lorsqu’ils sont cultivés de manière conventionnelle.
Cette différence peut s’expliquer par des facteurs naturels comme la structure du fruit, son mode de culture ou encore son environnement de production.
Mais alors, doit-on vraiment acheter tous nos fruits en version bio ? Ou peut-on faire l’impasse sur certains, sans pour autant compromettre notre santé ?
Pour le découvrir, plongeons dans les données récentes et les caractéristiques uniques qui font de certains fruits des exceptions surprenantes dans le monde des cultures intensives.
Les chiffres alarmants sur les fruits et les pesticides
Chaque année, l’Environmental Working Group (EWG), une organisation américaine indépendante, publie son rapport sur les résidus de pesticides dans les fruits et légumes.
Ces données proviennent de tests réalisés par le ministère américain de l’Agriculture (USDA) et la Food and Drug Administration (FDA).
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