« Si j’ai un cancer, je jeûne » : le cri du cœur d’un radiologue

« Personnellement, moi je suis radiologue.

Si j’ai un cancer, je ne franchis pas la porte de l’hôpital. J’ai vu trop de malades mourir des effets de la chimiothérapie. Je pense que vous le savez, mais le public ne sait pas : 50 % des malades qui meurent du cancer, meurent de leur traitement agressif.

Donc moi, si j’ai un cancer, premièrement je débranche tout : le boulot et je jeûne. Parce que c’est très difficile de jeûner quand vous travaillez, surtout dans les professions médicales, où vous avez une charge émotionnelle très importante et vous prenez la charge de vos patients.

Donc je jeûnerai, pendant 30 jours sans problèmes, je vais débrancher le moteur du cancer.

Et donc, si vous avez un patient exceptionnel, vous pouvez lui conseiller. Sinon, vous avez plein, en France, ça se développe partout, les semaines de jeûne.

Mais je crois qu’il faudrait qu’on travaille ensemble, le médecin, pour éventuellement avoir un centre où nous pourrions — parce que vous avez des centres en Suisse. Mais il faut avoir des moyens financiers quand même assez importants.

Donc, si vous avez un patient exceptionnel, vous lui dites de jeûner, vous lui faites acheter — il y a des livres, qu’ils savent très bien qu’il faut qu’ils lisent, c’est pas compliqué. Il suffit de pas manger. Pendant 30 jours. Alors il faut faire une supplémentation, etc.

Et vous voyez votre patient au moins une fois par semaine pour vérifier le poids, la tension, parce que la tension, il y a des hypotensions, et cetera, des migraines… donc il y a des petits détails pour arriver.

Mais le bon Dieu nous a donné le jeûne.« 

Source : Facebook