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Robert Kennedy Jr, vérités sur le fluor, diabète et autres

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Fraîchement nommé ministre de la Santé aux États-Unis, Robert Kennedy Jr bouleverse le débat public avec une série d’alertes sans précédent sur l’état de santé de la population et les pratiques des grandes industries. Il accuse frontalement l’agroalimentaire, la pharmaceutique, les autorités sanitaires et la bureaucratie d’être responsables d’un effondrement sanitaire organisé. Le diagnostic est implacable, les chiffres parlent d’eux-mêmes, et l’avertissement est sans équivoque : poursuivre sur cette voie mènerait à un effondrement sanitaire et social.

Diabète : une hécatombe évitable

Selon Kennedy, le diabète n’était autrefois très rare. « Un pédiatre typique ne voyait qu’un seul cas de diabète juvénile dans toute sa carrière. » Aujourd’hui, un enfant sur trois est diabétique ou prédiabétique. La proportion atteint 38 % chez les adolescents, et 50 % chez les adultes aux États-Unis. En Chine, la situation a basculé en vingt ans : de zéro cas à 50 % de la population touchée, après l’arrivée de 20 000 fast-foods et d’une alimentation ultra-transformée importée des États-Unis.

Les conséquences ne sont pas uniquement sanitaires, elles sont aussi économiques : les soins liés au diabète et aux dysfonctionnements mitochondriaux coûtent désormais plus cher que l’ensemble du budget militaire américain. Si rien ne change, la moitié des impôts fédéraux seront engloutis par le système de santé d’ici dix ans, et la totalité d’ici quinze. Pour Kennedy, cette trajectoire est « existentielle ».

Il pointe directement la responsabilité de l’industrie agroalimentaire : suppression des fibres, raffinage des aliments, ajout systématique de sucre dans tous les produits industriels, des yaourts aux conserves en passant par les plats préparés et les sodas. Cette stratégie provoque des pics glycémiques à répétition et alimente une dépendance à long terme, transformant des millions de malades en clients fidèles des laboratoires pharmaceutiques — détenus par les mêmes actionnaires. Une boucle parfaitement rodée.

Fluor : un toxique camouflé en traitement

Initialement ajouté à l’eau potable dans les années 1940 pour protéger les dents, le fluor est aujourd’hui désigné par Kennedy comme une substance inutile et dangereuse. « Aucun avantage systémique. Le seul bénéfice provient d’une application locale, par dentifrice ou bain de bouche. » Boire de l’eau fluorée n’apporte rien, affirme-t-il.

Mais les risques, eux, sont bien réels. Il cite une longue liste d’effets indésirables désormais documentés : chute du quotient intellectuel, troubles neurologiques (notamment TDAH), atteintes aux reins et au foie, hypothyroïdie, arthrose, multiplication par deux du risque de fracture de la hanche chez les femmes exposées. Selon lui, 40 à 80 % des enfants présentent aujourd’hui des fluoroses dentaires. Plusieurs États américains ont interdit le fluor dans l’eau potable. En France, il continue pourtant de couler à chaque ouverture de robinet, accompagné d’autres substances toxiques sous couvert de sécurité sanitaire.

Additifs alimentaires : la surdose américaine

Kennedy dénonce un empoisonnement légal et quotidien : aux États-Unis, l’alimentation contient environ 10 000 ingrédients différents, contre à peine 400 en Europe. Les mêmes entreprises adaptent leurs recettes selon le pays : les frites McDonald’s comptent 11 composants aux États-Unis, mais seulement 3 en Europe. Les céréales Fruit Loops sont, sur le marché nord-américain, saturées de colorants chimiques jaune, rouge et bleu — tous issus du pétrole.

Ce choix n’est pas le fruit du hasard. Kennedy affirme que l’absence de recherche sur les effets de ces substances est intentionnelle. Tant qu’aucune étude ne démontre leur nocivité, elles restent autorisées. Il appelle à rejeter tout aliment à la composition incompréhensible, et à revenir à une alimentation simple, locale, non transformée.

Huiles de graines : quand le pétrole entre dans l’assiette

Autre point de vigilance : les huiles de graines, omniprésentes dans l’alimentation industrielle, sont extraites à l’aide de solvants dérivés du pétrole comme l’hexane. Ces procédés, inconnus du grand public, permettent de produire des huiles à bas coût, mais aux effets sanitaires incertains. « Si quelqu’un veut manger du pétrole, qu’il le fasse chez lui. Mais qu’il ne nous l’impose pas à notre insu. » Kennedy préconise l’usage exclusif d’huiles naturelles, comme l’huile d’olive ou de coco.

Médecine sous contrôle, science sous pression

Il accuse l’ordre des médecins de fonctionner comme un bras armé de l’industrie pharmaceutique, révoquant les praticiens qui refusent de se plier aux directives imposées. Les médecins qui cherchent à soigner différemment ou à s’opposer aux protocoles dominants perdent leur droit d’exercer.

Kennedy appelle à des enquêtes judiciaires sur ces pratiques, et dénonce également la corruption des revues scientifiques. Les études indépendantes seraient systématiquement censurées lorsqu’elles remettent en cause les intérêts des grands laboratoires. Il menace ces publications d’actions civiles et pénales si elles continuent à étouffer les résultats gênants.

Vaccination animale : le risque de l’ignorance

La vaccination des oiseaux est un autre sujet de préoccupation. Kennedy affirme que les vaccins qui ne protègent pas totalement peuvent transformer les troupeaux en « usines à mutations ». Le virus y apprend à contourner les défenses, favorisant l’apparition de nouveaux variants. Les principales agences sanitaires américaines (NIH, CDC, FDA) s’y opposeraient, mais la pratique reste courante, notamment en Europe, où les poulets et les canards reçoivent des vaccins à ARN messager.

Chute hormonale et cancers précoces

L’effondrement hormonal chez les jeunes est particulièrement frappant. Selon Kennedy, les adolescents américains présentent désormais des niveaux de testostérone inférieurs à ceux d’un homme de 68 ans. Les filles, quant à elles, atteignent la puberté entre 10 et 13 ans, soit six ans plus tôt qu’auparavant.

Parallèlement, les cas de cancers colorectaux chez les enfants et les adolescents sont en forte hausse — un phénomène jamais observé auparavant. Il lie directement cette évolution à l’exposition chronique aux substances chimiques, aux hormones et aux résidus industriels omniprésents dans l’alimentation moderne.

Une machine étatique à l’abandon

Il critique avec virulence la bureaucratie sanitaire, qu’il juge paralysante et inefficace. Le ministère de la Santé compte 40 services de communication, 40 services informatiques, 40 services d’achats, sans coordination. Sous l’administration précédente, le budget du ministère a augmenté de 38 %, les effectifs de 17 %, sans amélioration concrète des soins.

Il annonce un partenariat avec Elon Musk pour éliminer ces redondances, réorienter les ressources vers les scientifiques et les patients, et « restaurer une vraie science ».

Liberté ou servitude

Face à la question des risques qu’il encourt, Kennedy reste lucide. Il confirme que la Maison Blanche a refusé de lui accorder une protection des services secrets, mais qu’il a pris des mesures privées pour sa sécurité. « Il y a bien pire que la mort : vivre comme un esclave, ou voir nos enfants perdre les libertés pour lesquelles tant d’Américains sont morts. » Il appelle chaque citoyen à défendre ces libertés, quel qu’en soit le prix.

Le désert comme révélateur du divin

Kennedy conclut sur une note spirituelle. Il rappelle que toutes les grandes révélations religieuses ont eu lieu dans la nature : Moïse sur le mont Sinaï, Mahomet sur le mont Ara, Bouddha sous l’arbre de la bodhi, le Christ dans le désert. « Dieu nous parle à travers les poissons, les oiseaux, les feuilles. »

La nature devient alors un sanctuaire, un refuge contre le vacarme technologique et industriel. Il invite chacun à y retourner : marcher en forêt, nager dans une rivière, gravir une montagne. C’est là que les réponses viennent, que les énergies se restaurent, que l’équilibre revient.

Source : Vivre sainement

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