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L’Allemagne et, au-delà, le monde occidental, sont secoués par une affaire judiciaire qui ne laisse personne indifférent : la condamnation à 3 ans et 9 mois de prison du célèbre avocat Reiner Fuellmich. Derrière ce verdict rendu le 24 avril 2025, ce sont les fondements même de l’État de droit, de la liberté d’expression et de l’indépendance de la justice qui vacillent dangereusement.
Un avocat devenu symbole de la dissidence
Avant de devenir la cible d’un acharnement judiciaire, Reiner Fuellmich s’était imposé comme une figure de la justice allemande. Célèbre pour avoir fait plier des géants tels que Volkswagen et Deutsche Bank, il entre en 2020 dans la lumière médiatique mondiale en créant le Corona Investigative Committee. Sa mission ? Faire la vérité sur la gestion sanitaire du Covid-19, dénonçant fraudes, manipulations et atteintes aux droits fondamentaux orchestrées selon lui au plus haut niveau.
Ses enquêtes, suivies par des millions de personnes, remettent en cause la fiabilité des tests PCR, la légalité des restrictions et la nature même des injections anti-Covid, présentées comme des vaccins mais, selon lui, relevant d’une opération globale aux ramifications politiques et financières inavouées. Sans surprise, ce discours tranche radicalement avec la doxa officielle et fait de lui la cible privilégiée des médias mainstream et des organes de « fact-checking » institutionnels.
Une arrestation entachée d’illégalités flagrantes
L’affaire prend une tournure kafkaïenne en octobre 2023 : alors exilé au Mexique pour échapper à ce qu’il qualifie de persécution politique, Reiner Fuellmich est arrêté à Francfort, après une expulsion mystérieuse. Privé de passeport (les deux documents de son épouse et lui ayant « disparu »), il se retrouve extradé vers l’Allemagne dans des conditions dénoncées comme un « kidnapping » par de nombreux avocats internationaux — le Mexique n’ayant émis aucun mandat valide.
On l’accuse alors d’avoir détourné 700 000 € de dons destinés au comité d’investigation, en surfacturant ses honoraires et en utilisant des fonds à des fins personnelles. Sauf que, dossiers à l’appui, tout prouve le caractère légal et transparent de ces opérations, validées par ses partenaires et fiduciaires, garanties sur la vente de ses biens à la clé.
JUSTICE BAFOUÉE : la condamnation scandaleuse de Me Reiner Fuellmich
Un simulacre de justice et des conditions de détention inhumaines
Ce qui s’est joué ensuite au tribunal de Göttingen dépasse le cadre d’une simple affaire de gestion de fonds : 51 audiences émaillées d’irrégularités massives. Témoins empêchés de parler, motions de la défense systématiquement rejetées, débats oraux interdits (la défense devant communiquer par notes écrites), public tenu à l’écart, opacité totale. L’accusé, détenu six mois à l’isolement, soumis à des humiliations dignes d’un régime totalitaire, est traité comme un dangereux criminel alors que les faits reprochés, même avérés, ne justifieraient aucunement un tel dispositif.
Comble de l’affaire, un dossier des services secrets allemands, versé par la défense, dévoile l’existence d’un plan explicite : « arrêter Fuellmich à tout prix », l’infiltrer, briser sa réputation, le faire taire. Le tribunal ? Il refuse purement et simplement d’en tenir compte.
Un verdict expéditif, un signal glaçant pour tous les dissidents
Le verdict tombe, implacable : 3 ans et 9 mois de prison, sans même déduire la totalité des 18 mois de détention préventive déjà purgés par Reiner Fuellmich. L’explication du tribunal frôle l’absurde : la défense aurait « fait traîner » les débats — alors même que le juge fut malade deux mois et que la procédure fut ralentie par les manœuvres du tribunal. Pire : la sentence, rendue à la hâte, trahit le sentiment d’une décision écrite d’avance, sans réelle prise en compte des arguments de la défense.
Ce procès inique apparaît, pour de nombreux observateurs, comme une mise en garde adressée à tous ceux qui osent remettre en cause le narratif dominant. La méthode ? Intimidation, diabolisation, destruction de réputation et, si cela ne suffit pas, neutralisation judiciaire pure et simple.
Procès Fuellmich : Injustice et Enjeux d’un Procès Politique
Mobilisation internationale et appel à la vigilance
La condamnation de Reiner Fuellmich a déclenché une onde de choc bien au-delà des cercles militants. Avocats, journalistes indépendants, citoyens engagés, tous s’insurgent contre ce qu’ils considèrent comme une instrumentalisation politique de la justice, un test pour nos démocraties. Manifestations devant les tribunaux, campagnes de lettres, pétitions, émissions spéciales, la mobilisation ne faiblit pas. Plusieurs médias indépendants (BAM News, France Soir, Nexus, Tocsin Média, entre autres) relaient inlassablement les violations du droit dans ce dossier.
Comme l’avait prédit Soljenitsyne, « Les dissidents de l’avenir seront à l’Ouest ». Nul n’est à l’abri lorsque l’État de droit vacille au gré des intérêts politiques ou économiques.
Et maintenant ?
Reiner Fuellmich a fait appel, mais la procédure pourrait prendre des années, durant lesquelles il restera emprisonné. Plus que jamais, il est crucial de ne pas laisser cette affaire tomber dans l’oubli. Informer, partager, soutenir, interpeller les élus, écrire à Fuellmich, signer les pétitions (par exemple sur freereinerfuellmich.org), relayer le travail des journalistes indépendants, voilà autant d’actions à la portée de chacun.
Car accepter qu’un homme soit broyé pour avoir simplement exercé son droit à questionner et à enquêter, c’est accepter que la vérité devienne un crime. Comme l’a déclaré Fuellmich dans sa dernière plaidoirie :
« La vérité finit toujours par triompher, même si le chemin est long et douloureux. À nous de décider si nous laissons Reiner Fuellmich parcourir ce chemin seul, ou si nous marchons avec lui. »
Source : Jean-Dominique Michel (Anthropo-logiques)
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