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Dans un épisode retentissant de sa chaîne, Idriss J. Aberkane reçoit Nicolas Hulscher, épidémiologiste diplômé en santé publique (MPH) et chercheur à la Fondation McCullough. Devenu une référence aux États-Unis sur les effets secondaires graves des injections Covid, il présente, preuves à l’appui, ce que les autorités avaient juré comme étant impossible : non seulement l’ARN messager ne reste pas dans le bras, mais il circule dans l’ensemble du corps, où il continue de produire la protéine de pointe pendant des semaines, voire des mois. Le tout, validé par des publications scientifiques évaluées par les pairs.
L’entretien s’ouvre sur une mise en contexte : dès les premiers jours de la pandémie, Nicolas Hulscher s’étonne de la réponse parfaitement homogène des gouvernements du monde entier. Partout, les mêmes confinements, les mêmes protocoles hospitaliers, les mêmes interdictions de traitements comme l’hydroxychloroquine ou l’ivermectine. Pourtant, rien ne prouvait leur inefficacité. L’ivermectine, moquée par la FDA comme un « vermifuge pour chevaux », a pourtant valu un prix Nobel — le Nobel vétérinaire n’existant pas, on comprend bien qu’il s’agissait d’un prix de médecine humaine.
Dans ce climat de peur et de censure, toute voix discordante était systématiquement étiquetée « complotiste ». Même évoquer la possibilité que le virus ait pu sortir d’un laboratoire P4 à Wuhan valait excommunication médiatique — avant que cette hypothèse ne soit finalement jugée « la plus probable » par plusieurs agences de renseignement occidentales, dont la CIA.
Mais le cœur du scandale, pour Hulscher, réside ailleurs : dans la gestion opaque, autoritaire et non scientifique de la campagne de vaccination. À partir des travaux de la Fondation McCullough, il expose une étude phare qui a marqué un tournant : l’analyse de 326 autopsies publiées dans des revues à comité de lecture, concernant des décès survenus après l’injection. Trois experts en pathologie indépendants ont réévalué chaque cas. Résultat : dans 73 % des cas, le décès est jugé probablement causé par le vaccin.
Les causes récurrentes sont édifiantes : arrêts cardiaques soudains, myocardites, péricardites, embolies pulmonaires, AVC hémorragiques, syndromes inflammatoires multisystémiques. Et surtout, une temporalité implacable : dans une large majorité des cas, la mort survient dans les jours qui suivent l’injection.
Contrairement aux déclarations des autorités sanitaires — qui affirmaient que l’ARNm resterait « dans le bras » et ne serait actif que deux semaines — les chercheurs ont détecté la protéine de pointe dans le cœur, le cerveau, les testicules, les ovaires, les glandes surrénales et même la moelle osseuse. Cette protéine, hautement inflammatoire, est retrouvée en grande quantité bien au-delà du site d’injection. Des études japonaises et internationales le confirment : le code génétique de l’ARNm se diffuse largement dans l’organisme, entraînant une production persistante de la protéine toxique.
Une publication du Journal of Clinical Neuroscience montre même que 40 % des patients victimes d’AVC hémorragique avaient encore de la protéine de pointe dans leurs artères cérébrales, accompagnée d’une infiltration de lymphocytes T — preuve d’une réaction auto-immune en cours. Une autre étude démontre que des microcicatrices irréversibles apparaissent dans les tissus cardiaques de patients ayant reçu plusieurs doses.
Le paradoxe est flagrant chez les jeunes : alors que leur risque de décès lié au Covid-19 est extrêmement faible, leur probabilité de développer des effets secondaires graves après injection — myocardites, troubles neurologiques, inflammations systémiques — est, elle, beaucoup plus élevée. Pourtant, ils ont été massivement ciblés par des campagnes de vaccination, souvent sur fond de chantage émotionnel : « Si tu ne te vaccines pas, tu risques de tuer tes grands-parents. »
En France, le déni institutionnel atteint des sommets. Un ministre de la santé a déclaré publiquement, à plusieurs reprises, qu’il n’existait « aucun effet indésirable » lié aux vaccins. « C’est soit un mensonge total, soit une preuve de déficience intellectuelle grave », tranche Hulscher, sans détour. D’autant que les documents confidentiels de Pfizer, désormais rendus publics, montrent que des milliers de décès étaient déjà recensés par le laboratoire dès 2021.
Les laboratoires, quant à eux, continuent d’être juridiquement intouchables. Protégés par des lois comme le PREP Act aux États-Unis, ils ne peuvent être poursuivis, même en cas de décès ou d’invalidité permanente. Aucune responsabilité, aucun dédommagement. Une impunité totale.
Face à cette situation, Hulscher pointe du doigt la responsabilité des grands médias, « totalement compromis par les intérêts pharmaceutiques ». Selon lui, seuls les médias alternatifs ont permis aux citoyens d’accéder aux véritables données. Il soutient ouvertement les positions du secrétaire à la santé américain Robert F. Kennedy Jr., qui milite pour interdire la publicité pharmaceutique à la télévision : « On ne devrait pas vendre des médicaments comme des barres chocolatées pendant une série télé. »
À l’issue de cet échange, Idriss Aberkane insiste : les études citées sont validées, revues par des pairs, publiées dans des revues de haut niveau. Ce ne sont pas des blogs ou des pamphlets. C’est la science, celle-là même que les autorités nous demandaient de croire. Et cette science confirme que le public a été délibérément trompé — sur la nature du produit, sur sa diffusion dans le corps, sur la persistance de la protéine de pointe, sur les risques graves, et sur l’ampleur des décès.
« C’est un crime contre l’humanité », affirme Hulscher. « Les gouvernements doivent reconnaître leurs erreurs, et présenter des excuses à leurs citoyens. »
Il conclut par un message d’espoir : malgré la censure et l’intimidation, un réveil massif est en cours. « Tant que nous disons la vérité, tant que nous refusons de céder à l’absurde, alors l’avenir peut encore être beau. »
Source : Idriss J. Aberkane
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