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La Boswellia serrata est une espèce d’arbre principalement présente en Inde, mais que l’on retrouve aussi dans la péninsule Arabique et le nord-est de l’Afrique. Cette plante produit une résine bien connue sous le nom d’encens. Réputée pour ses nombreuses mentions dans la Bible, notamment comme l’un des présents apportés à l’enfant Jésus par les mages, la boswellia bénéficie aujourd’hui d’une popularité grandissante à travers le monde. Pourtant, ses vertus ne datent pas d’hier : en Inde, en Chine et en Grèce, cette résine est utilisée depuis plusieurs millénaires pour traiter différentes affections inflammatoires.
Les propriétés documentées de la boswellia
De nombreuses études confirment les multiples effets bénéfiques de la boswellia :
- Action anti-inflammatoire
- Effets antiarthritiques
- Propriétés antirhumatismales
- Potentiel antidiabétique
- Effet antihyperlipidémique (prévient l’élévation des lipides sanguins)
- Action antiasthmatique
- Potentiel anticancéreux
- Propriétés analgésiques (soulagement de la douleur)
- Protection hépatique (foie)
- Protection du côlon
- Action immunomodulatrice (renforcement du système immunitaire)
Les présents des mages et l’importance des plantes ayurvédiques
Selon la tradition, les mages ont offert à l’enfant Jésus de l’encens, de la myrrhe et de l’or. Ces trois cadeaux correspondent en réalité à trois plantes d’une grande puissance thérapeutique :
- « Encens » : boswellia
- « Myrrhe » : probablement le guggul (Commiphora wightii)
- « Or » : le curcuma, appelé « épice dorée », qui fut jadis plus précieux que l’or lors de l’apogée du commerce des épices
De ce fait, il apparaît que les trois sages apportaient des remèdes ayurvédiques à Jésus.
Usages historiques et médicinaux de la boswellia
Au fil des siècles, l’encens s’est imposé comme un remède universel. Au seizième siècle, il était utilisé en France sur les champs de bataille pour apaiser la douleur et l’inflammation. En médecine ayurvédique, la Boswellia serrata traite depuis longtemps l’arthrite et l’asthme.
Des recherches récentes démontrent que la boswellia agit favorablement sur l’inflammation dans tout l’organisme, s’avérant efficace contre de nombreuses pathologies telles que l’arthrose, la polyarthrite rhumatoïde, les maladies inflammatoires de l’intestin (comme la colite), les polypes du côlon, ainsi que certaines maladies pulmonaires, notamment les allergies et l’asthme.
L’encens fait aussi l’objet d’études croissantes pour ses effets anticancéreux et anti-inflammatoires, notamment dans les traumatismes crâniens et les tumeurs cérébrales.
Rôle de l’encens dans les traditions religieuses et ses effets psychoactifs
L’encens n’a pas seulement un rôle médicinal : il occupe aussi une place de choix dans de nombreuses traditions religieuses, étant utilisé comme encens lors de cérémonies. Les recherches tendent à démontrer que cette préférence s’explique par ses propriétés psychoactives légères, capables d’atténuer le stress, l’anxiété et la dépression. L’encens stimulerait certaines zones du cerveau associées à la concentration, à la relaxation et à la sérénité, facilitant ainsi la méditation et la prière.
La Boswellia serrata contribue ainsi à apaiser à la fois le corps et l’esprit.
Progrès scientifiques et recherches actuelles sur la boswellia
Avec la popularisation des produits naturels à base de boswellia, plus de 400 études scientifiques ont été publiées à ce jour, à raison d’une à deux par semaine en moyenne.
Comment choisir un extrait de boswellia efficace ?
De nombreux compléments alimentaires à base de boswellia sont disponibles, mais leur efficacité varie considérablement. Souvent, ces produits contiennent des extraits d’écorce ou de racine, alors que les propriétés anti-inflammatoires se trouvent dans la résine. Il est donc essentiel de s’assurer que l’extrait provient bien de la gomme résineuse de l’arbre.
La standardisation des composants (acides boswelliques, AKBBA, polysaccharides…) est primordiale. Sans cette standardisation, l’efficacité du complément peut fluctuer d’une marque à l’autre, d’une saison à l’autre, ou même selon la partie de la plante utilisée. Certaines entreprises utilisent d’autres parties de la boswellia pour fabriquer de l’encens, mais ces extraits sont moins intéressants sur le plan thérapeutique, bien qu’ils puissent être étiquetés « boswellia ».
Les études ont identifié certains composants majeurs responsables des bienfaits :
- Acides boswelliques : ils présentent des activités anti-inflammatoires, analgésiques et antiarthritiques grâce à une inhibition spécifique de la 5-lipoxygénase et de l’élasase leucocytaire humaine. Ils inhibent également l’activation du facteur NF-kB, ce qui réduit la production de divers marqueurs inflammatoires (TNF-alpha, IL-1, IL-2, IL-4, IL-6, IFN-gamma, LTB4).
- AKBBA (acétate-11-céto-bêta-acide boswellique) : ce composant, crucial dans l’amélioration de l’efficacité, doit être standardisé (entre 5 % et 30 %).
- PS (Polysal-polysaccharide) : une fraction spécifique récemment identifiée, appelée Polysal, améliore l’absorption et l’efficacité des autres composants. Elle est présente dans certains suppléments, comme Boswellin PS, qui combine ces trois principes actifs.
Pour bénéficier de l’effet thérapeutique recherché, il est nécessaire que le produit contienne ces trois éléments fondamentaux : acides boswelliques, AKBBA et Polysal.
Boswellin PS : la nouvelle référence de la boswellia
Boswellin PS représente le nouveau standard d’excellence parmi les extraits de boswellia. La combinaison des trois composants clés (Polysal, acides boswelliques, AKBBA) à des dosages précis améliore notablement l’absorption et l’efficacité de la résine.
Des études ont déterminé la quantité optimale de chaque composant pour maximiser l’effet anti-inflammatoire. Le complément Bosmeric-SR, par exemple, associe ces éléments dans des proportions spécifiques, assurant une action immédiate et prolongée (plus de huit heures). Cette approche synergique privilégie la combinaison et le dosage précis des composants plutôt qu’une concentration maximale d’un seul ingrédient.
Les recherches montrent que l’efficacité provient davantage de l’équilibre entre les composants que de leur concentration individuelle élevée.
Quelle quantité de Boswellin PS consommer ?
Pour un complément standardisé à au moins 65 % d’acides boswelliques et 10 % d’AKBBA, il est conseillé de prendre 500 mg deux fois par jour, durant les repas. Avec Bosmeric-SR (qui contient Boswellin PS), une dose de 200 à 400 mg (soit une à deux comprimés) deux fois par jour suffit. Pour les personnes souffrant de pathologies chroniques ou graves, telles que le cancer, il est recommandé de prendre deux comprimés trois fois par jour avec de la nourriture, afin d’assurer une couverture anti-inflammatoire continue sur 24 heures.
L’ajout de curcuminoïdes (avec du gingembre et du poivre noir) accroît encore l’efficacité de Bosmeric-SR, qui surpasse alors les autres produits à forte concentration d’AKBBA ou d’acides boswelliques pris isolément.
Pour approfondir les démarches vers une santé optimale via l’alimentation, le mode de vie et l’usage d’anti-inflammatoires naturels, il est suggéré de consulter An Inflammation Nation.
Source : cancertutor.com
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