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Cinq ans après le début de la pandémie, le récit officiel semble inébranlable : la vaccination contre le Covid-19 aurait été « sûre et efficace ». Pourtant, derrière ce slogan martelé à l’envi, aucune grande étude indépendante n’a jamais évalué, en France, l’efficacité réelle de ces vaccins ni recensé avec honnêteté l’ampleur de leurs effets secondaires. Résultat ? Un malaise grandissant, alimenté par des milliers de témoignages de victimes et des statistiques de pharmacovigilance qui explosent.
Dans une émission exceptionnelle des Incorrectibles, Pierre Chaillot, statisticien et auteur du livre « Victimes des vaccins Covid-19 » (Éditions de l’Artilleur), expose méthodiquement ce que révèlent – ou cachent – les chiffres officiels. Il dénonce l’omerta persistante autour des victimes, la responsabilité écrasante des pouvoirs publics, et la stratégie de l’industrie pharmaceutique pour protéger ses intérêts, parfois au détriment de la santé collective.
Pourquoi le scandale ne fait que commencer
L’histoire l’a déjà prouvé : la reconnaissance officielle des victimes de scandales sanitaires (Mediator, H1N1, opioïdes…) prend souvent plus de dix ans, voire n’aboutit jamais à une indemnisation réelle. Avec les vaccins Covid, le processus commence à peine. Les premières indemnisations concernent essentiellement des cas très graves, souvent chez des jeunes en parfaite santé. Mais la majorité des victimes, elles, restent seules face à l’administration, dans l’indifférence ou le déni général.
Effets secondaires et surmortalité : des signaux ignorés
Les chiffres sont têtus. On constate, depuis les campagnes de vaccination, une augmentation inhabituelle de la mortalité chez les jeunes adultes, un effondrement de la natalité et une explosion du nombre d’effets indésirables graves. Ces signaux d’alerte, bien plus marqués que pour n’importe quel vaccin précédent, peinent à être reconnus officiellement. Quelques médias commencent à évoquer le sujet, timidement, mais la majorité préfère détourner le regard.
Pierre Chaillot va plus loin : il affirme que la surmortalité enregistrée en 2020 ne s’explique pas par le virus, mais par les décisions politiques. Confinements, abandon de soins, prescriptions massives de Rivotril dans les Ehpad… Pour lui, ce sont ces choix, et non le virus lui-même, qui ont provoqué l’essentiel des morts.
Laboratoires intouchables, victimes abandonnées
Pourquoi est-il si difficile d’obtenir justice face aux laboratoires ? Parce que la loi, en France comme ailleurs, protège l’industrie pharmaceutique. La charge de la preuve pèse toujours sur la victime, qui doit prouver à ses frais – études à l’appui – le lien entre le vaccin et l’accident. Dans les faits, c’est une mission quasi impossible. D’autant que les médecins qui osent témoigner s’exposent à des sanctions. Cette protection juridique et institutionnelle a un coût humain immense : la souffrance invisible de milliers de victimes non reconnues.
Quand la science sert de prétexte
Pour Pierre Chaillot, la crise Covid a révélé une crise plus profonde : celle de la crédibilité scientifique. La majorité des études brandies pour justifier les campagnes vaccinales ou les mesures sanitaires sont, selon lui, biaisées, voire manipulées. Il cite des cas concrets de modèles mathématiques falsifiés, d’équations erronées, ou d’études financées par des acteurs à la fois juges et parties (fondations privées, laboratoires). Au lieu de servir la vérité, la « science officielle » devient parfois l’outil d’une propagande bien huilée, relayée sans recul critique par les médias.
Pass sanitaire : la fabrique du consentement
Au cœur de ce dispositif : le pass sanitaire. Présenté comme une mesure de santé publique, il s’est rapidement transformé en outil de coercition, divisant la société et introduisant un biais massif dans les statistiques : seuls les non-vaccinés étaient soumis à des tests systématiques, rendant les vaccinés « invisibles » dans les chiffres des cas positifs. Un tour de passe-passe qui a entretenu artificiellement la croyance en une efficacité massive des vaccins, alors même que les données ne le justifiaient pas.
La peur comme arme de gestion de masse
Au fond, tout s’est joué sur la peur. Une peur savamment entretenue, qui a permis de faire accepter l’impensable : confinement, suspension de libertés fondamentales, ostracisation des non-vaccinés… Pour Pierre Chaillot, il s’agit d’un précédent dangereux, qui pourrait resservir à l’avenir pour imposer de nouveaux contrôles sociaux.
Comment sortir de l’omerta ?
Tant que la société restera dans le déni, rien ne changera. Pour espérer obtenir justice, il faudrait briser l’omerta, exiger des enquêtes indépendantes et une remise à plat des responsabilités politiques et industrielles. Mais tant que l’industrie pharmaceutique sera juridiquement protégée, tant que les conflits d’intérêts domineront la recherche, tant que la peur primera sur la raison, la bataille pour la vérité restera vaine. Seule la levée de ces obstacles permettra qu’elle commence enfin.
Source : LES INCORRECTIBLES
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